Crash bandicoot, le renard pas très rusé
- Manon W
- 25 nov. 2020
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 29 janv. 2021
Qui pourrait oublier le plus célèbre renard du jeu vidéo : Crash Bandicoot. Jeu de plateformes/party games sorti en 1996, il s’agit sans doute d’un des monuments du genre et du jeu familial.
Un classique qui a su se réinventer récemment avec un remake de la trilogie originelle qui est sortie en 2019 sur tous les supports récents (et oui même sur Switch !).

Simple et efficace
Crash bandicoot, premier jeu du nom est assez simple dans l’idée. 3 îles, 32 niveaux et un objectif : vaincre NeoCortex le pire ennemi de notre renard adoré. Chaque niveau est unique et chaque île correspond à un univers qui lui est propre. Pour atteindre un niveau, il va falloir finir son précédent et cela jusqu’au boss de l'île. Le gameplay également est assez sommaire. Sauter, tourbillonner sur des ennemis, attraper des pommes, casser des caisses en bois. Vous pouvez même vous faire aider par aku aku, un masque tribal qui vous suit.
Le jeu familial par excellence
De par sa simplicité mais aussi par sa direction artistique colorée, Crash est très accessible. L’humour est adapté aux enfants et permet de pouvoir prévoir des sessions de jeu endiablées. Le jeu se prête parfaitement au prêt de manette, chacun son tour à tenter son habileté au niveau. Les protagonistes et antagonistes sont majoritaires des animaux anthropomorphes mis à part deux-trois personnages comme Cortex ou encore N Gin mais désignés de manière loufoque. Ce qui contribue au succès du jeu auprès des enfants. Par ailleurs, la plupart des ennemis que vous affrontez est une création du grand méchant du jeu : Cortex.
Un succès usé et overusé
Pour le bonheur de tous, Crash Bandicoot est décliné en de nombreux, très nombreux jeux. Même les dérivés sont divers. Le plus connu de tous, est le fameux Crash Bandicoot Kart racing. Qui lui-même a été reconduit de nombreuses fois. Alors nous vous invitons à vous y essayer, le choix est là. Vous y trouverez bien votre bonheur.

Comments